All posts by : Aurélie

Parole d’adhérente : Valérie Guitet “Cette période recentre nos efforts sur les projets solides qui ont du sens.”

En cette période de confinement, l’APCOM souhaite donner la parole à ses adhérents pour qu’ils partagent leurs pratiques de communicant.e, leur nouvelle organisation et les impacts sur leur activité et plus largement sur le secteur de la communication. Rencontre avec notre adhérente Valérie Guitet, qui dans le cadre de l’opération nationale “Mois Sans Tabac” organisée par Santé Publique France, accompagne l’Agence Régionale de Santé des Pays de la Loire dans le déploiement de cette campagne de marketing social sur notre région depuis 2016.

Comment se déroule votre activité professionnelle durant le confinement ?
Si cela est possible, les salariés.ées de l’Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie (ANPAA) sont en télétravail à la maison. Nous sommes 1 600 professionnels.elles dont 1 300 soignants.es.

Comment cela-t-il modifié votre façon de travailler ?
Je maintiens des relations fortes avec ceux qui travaillent sur nos dossiers, que ce soit sur notre plateforme interne collaborative pour mes collègues ou sur des espaces partagés dédiés à la gestion de projet pour tous nos partenaires.

Selon vous, quels seront les impacts de cette crise sur nos métiers et le secteur de la communication ?
Cette période recentre nos efforts sur les projets solides qui ont du sens.

Enfin, avez-vous un coup de cœur à partager ?
Pour aborder le sujet de la résilience, quoi de plus percutant que le premier roman d’Adeline Dieudonné, La Vraie Vie (éditions L’Iconoclaste). Née en 1982, elle fut lauréate du Grand prix du concours de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour sa nouvelle Amarula.

Parole d’adhérent : Baptiste Orinel “On voit que la communication pendant cette crise est un maillon essentiel”

En cette période de confinement, l’APCOM souhaite donner la parole à ses adhérents pour qu’ils partagent leurs pratiques de communicant.e, leur nouvelle organisation et les impacts sur leur activité et plus largement sur le secteur de la communication. Rencontre avec Baptiste Orinel, arrivé à Nantes depuis quelques mois en charge de la communication externe de GRDF (distribution de gaz naturel en France) pour les Pays de la Loire.

Comment se passe votre activité professionnelle depuis le confinement ?
Vraisemblablement, cette année, le mois de septembre aura 52 jours… de nombreux événements et projets ont été décalés sur le deuxième semestre. Des campagnes médias sont également suspendues pour le moment. Même si techniquement ça a été assez facile de se retrouver en télétravail, le plus important est de ne pas perdre le lien et récupérer les bonnes informations. Il faut rester en veille et en alerte sur tous les sujets pertinents pour notre activité.

Quels avantages tirez-vous de cette nouvelle organisation ?
Ne pas être réuni avec mes collègues au même endroit est un vrai challenge. Aussi performants que soient nos outils de messagerie, de collaboration ( Yammer, Office 365), de visioconférence (Skype) ceux-ci procurent une expérience différente de ce qui se passe autour d’échanges et de rencontres sur le terrain. Ces outils sont déjà bien intégrés dans l’entreprise depuis des années, mais ont rarement remplacé les échanges physiques. Il faut apprendre à travailler autrement. Cela me donne l’opportunité et le temps d’approfondir des dossiers de fond et de préparer la rédaction de fiches thématiques et de notes de cadrage. Par ailleurs, la direction de la communication de GRDF a lancé une webradio pour garder le lien avec ses équipes sur le terrain.

Selon vous, quels seront les impacts de cette crise sur nos métiers et le secteur de la communication ?
Bien qu’il paraît encore flou et incertain, l’après-Covid-19 sera évidemment crucial. La communication aura un rôle important à jouer et pas seulement dans la promotion des produits ou les enjeux économiques des grandes entreprises. On voit que la communication pendant cette crise est un maillon essentiel : les réseaux sociaux, la TV, WhatsApp….
La communication sera renforcée, elle devra permettre de créer du lien, de faire vivre des expériences, faire émerger les belles initiatives et mettre les clients au cœur des intérêts des marques. Il est fondamental de donner du sens aux prises de parole. Cette crise aura redistribuée pas mal de cartes dans de très nombreux domaines et notamment celui de la communication et de la volonté d’aller à l’essentiel

Enfin, avez-vous un coup de cœur ou une lecture à partager ?
Lire ou relire Michel Houellebecq et découvrir l’appli de radio France avec les podcasts d’Affaires sensibles, France culture.

Parole d’adhérent : Jordi Soudé “La ligne éditoriale de Com&Médias a été totalement transformée”

En cette période de confinement, l’APCOM souhaite donner la parole à ses membres pour qu’ils partagent leurs pratiques de communicant.e, leur nouvelle organisation et les impacts sur leur activité. Rencontre avec Jordi Soudé, journaliste et rédacteur en chef de Com&Médias, média BtoB spécialiste du secteur de la communication et partenaire de l’APCOM.

Comment le confinement a modifié ton activité ?
Comme toute l’équipe de Com&Médias, je suis en télé travail depuis le mardi 17 mars. Deux changements notables : évidemment moins d’échanges en interne (les outils de com à distance ne remplacent pas complètement une présence physique au bureau) et une ligne éditoriale qui a été totalement transformée : pas d’info-business ces dernières semaines, on a donc opté pour le format audio avec des interviews téléphoniques enregistrées et une newsletter quotidienne. L’idée, c’est de prendre des nouvelles des acteurs de la com, de comprendre leurs contraintes, leurs réflexes… en période de confinement.

A ton avis, quels seront les impacts de cette crise sur nos métiers ?
Les impacts économiques sont déjà là. Visiblement, le digital s’en sort mieux pour l’instant. La grande question : à quel moment les entreprises reprendront la parole pour parler de leurs produits ou services et pas du COVID ?

Une bonne nouvelle, un conseil à partager ?
LA bonne nouvelle, c’est que ma fille a eu son bac en avril (si c’est pas de la précocité :)). Et que je peux bosser en tongues… Sinon, il faut absolument s’abonner à la newsletter quotidienne de Com&Médias (corporate jusqu’au bout !).

Parole d’adhérent : Martin Rauturier “La communication tient une place prépondérante dans notre réponse à la crise”

En cette période de confinement, l’APCOM souhaite donner la parole à ses adhérents pour qu’ils partagent leurs pratiques de communicant.e, leur nouvelle organisation et les impacts sur leur activité et plus largement sur le secteur de la communication. Rencontre avec Martin Rauturier, nouvel adhérent vendéen, qui nous livre son sentiment.

Quel communicant es-tu ?
Grand, curieux, à l’esprit “slasheur”. Sorti d’études généralistes, je navigue depuis 5 ans dans la communication et le marketing sous toutes ses composantes (éditoriale, digitale, événementielle, relations publiques, etc.). Du football professionnel au leader industriel en robotique ! Aujourd’hui en quête d’un nouvel engagement j’ai en parallèle créé ma structure de conseil et services en communication.

Comment se passe ton lancement d’activités en plein confinement ?
J’ai lancé mon activité indépendante en janvier/février. Entre prises de contacts informelles, entretiens consécutifs à des offres d’emploi, une certaine dynamique s’était instaurée. Cela s’est arrêté net, les organisations comme tout organisme en cas de danger se recentrent sur elles-même, leur chaine de valeurs “produits”, clients et fournisseurs. C’est compréhensible. Tous autant que nous sommes, nous encaissons le choc, devons passer par un temps d’adaptation à la situation dans nos quotidiens personnels et professionnels qui deviennent soudainement pleinement imbriqués.

Quel côté positif vois-tu dans cette organisation ?
Une fois la frustration de se retrouver à l’arrêt avec peu voire plus de répondant, j’en profite pour reprendre des projets d’écriture notamment, laissés de côté. Je reste en veille de toute opportunité bien entendu mais je mets ce temps à profit pour lire, réfléchir. Mon indépendance me donne aussi le luxe de ne pas être dans l’urgence de la gestion de cette crise pour une organisation et de pouvoir prendre de la hauteur.

A ton avis, quels seront les impacts de cette crise sur les métiers de la communication ?
Personne ne peut aujourd’hui tirer des conclusions définitives sur les conséquences de cette crise. Comme je l’ai partagé sur LinkedIn, je pense que cette période est un nouveau révélateur de la quête de sens importante qui anime nos sociétés (terme qui désigne à la fois l’entreprise et notre vie sociale commune…). La communication tient une place prépondérante dans notre réponse. Dans son acception la plus pure : mettre en commun, être en relation, transmettre. Elle doit reprendre toute sa place au service du développement et de l’animation de projets collectifs inspirants qui sont autant de récits de vie partagés pour faire société.
Quel conseil ou coup de cœur  partagerais-tu ?
Un conseil lorsque c’est possible: se détacher du flux d’informations en continu et trouver des bulles d’évasion : projets personnels, lectures, films, séries… Pour les amateurs d’histoire ou d’épopée (en prose) je vous conseille Civilizations de Laurent Binet, le récit d’une histoire inversée où les Incas règnent en Europe.

Parole d’adhérent avec Cédric Amiot “Les problématiques RSE vont prendre de l’importance au sein des feuilles de route”

En cette période de confinement, l’APCOM souhaite donner la parole à ses membres pour qu’ils partagent leurs pratiques de communicant.e, leur nouvelle organisation et les impacts sur leur activité et plus largement sur le secteur de la communication. Rencontre avec Cédric Amiot, administrateur de l’APCOM, responsable communication interne et externe d’AS 24 , qui fournit des services aux professionnels du transport (gestion de cartes carburants, transactions péages, localisations de remorques, récupération de TVA, etc) dans 28 pays en Europe.

 

Nous sommes en confinement depuis plusieurs jours, quelles sont les conséquences sur votre activité professionnelle ?

Il y a une double problématique: communiquer en externe sur le fonctionnement normal de nos produits et services malgré la conjoncture grâce à une forte réactivité de nos équipes, et mettre en place les moyens d’informer les 300 collaborateurs répartis dans 300 bureaux en télétravail au lieu de 15 habituellement! Le ton doit être celui de l’empathie, de la transparence, et de l’efficacité pour soutenir l’activité de transport de marchandises qui est vitale pour la population.

Quels avantages tirez-vous de cette nouvelle organisation ?

Nous avons adapté nos outils pour mieux communiquer en interne (visio principalement), et modifier nos communications pour être davantage empathiques, dans la recherche de solutions, dans la ré-assurance concernant le fonctionnement. Cette situation a montré que les équipes ont été très réactives pour s’adapter à la situation, solidaires entre elles pour trouver des solutions.

Selon vous, quels seront les impacts de cette crise sur nos métiers et le secteur de la communication ?

La communication sera encore plus importante pour bien informer du rôle sociétal de l’entreprise. Les problématiques RSE vont prendre de l’importance au sein des feuilles de route.

Pour finir sur une note plus légère, avez-vous un coup de cœur à partager ?

Le coup de cœur du moment: le burger de la quarantaine fait maison par Burger King !

Parole d’adhérente avec Mélinda Thomaret “Le confinement nous oblige à prendre un temps d’arrêt et d’écoute”

En cette période de confinement, l’APCOM souhaite donner la parole à ses membres pour qu’ils partagent leurs pratiques de communicant.e, leur nouvelle organisation et les impacts sur leur activité et plus largement sur le secteur de la communication. Rencontre avec Mélinda Thomaret, administratrice de l’APCOM et fondatrice & dirigeante de MOAKÏTE, agence de conseil en communication événementielle.

Nous sommes en confinement depuis plusieurs jours, quelles sont les conséquences sur votre activité professionnelle ?

C’est en fait toute une filière qui a été touchée. Je pense particulièrement aux freelances, aux prestataires ou aux intermittents du spectacle qui travaillent dans les coulisses pour la bonne tenue d’un événement.
Les agences événementielles ont été impactées dés le début du mois de mars avec les premiers reports ou annulations. L’activité est depuis en stand-by avec des incertitudes quant à la période de reprise.

Comment cela-a-t-il modifié votre façon de travailler ?

L’agilité est un prérequis dès lors que l’on travaille dans l’événementiel, c’est d’autant plus vrai en période de crise. Des projets ont dû être décalés, bousculant les plannings de production dans le même temps. C’est également de nouveaux modes de communication qui ont été mis en œuvre avec nos clients. Les outils tels que Skype, Teams, Zoom s’avèrent pratiques mais sont loin de remplacer la rencontre physique ! Passé ce temps de « réaction », le confinement nous oblige à prendre un temps d’arrêt, un temps d’écoute. C’est un temps de compréhension nécessaire pour questionner nos modèles, prendre du recul sur nos façons d’interagir ou encore de communiquer.

Selon vous, quels seront les impacts de cette crise sur nos métiers et le secteur de la communication ?

Toute crise est un accélérateur du changement. Les entreprises devront être moteur d’un monde plus responsable avec des agences de communication événementielles présentes à leur côté pour impulser cette transformation. Chacun sera conscient de sa responsabilité au regard d’autrui. Certaines entreprises incarnent d’ores et déjà cette volonté au travers leur politique RSE. Mais au delà de la simple formalisation d’un rapport RSE, le temps est à l’action ! Il faudra embarquer toutes les parties prenantes avec transparence et engagement.
Dans un contexte qui reste incertain pour de nombreuses structures, les formats d’événements seront certainement différents, mais le travail de fond sur les messages à porter sera d’autant plus important. Les organisations auront plus que jamais besoin de rassembler les collaborateurs pour souder à nouveau les équipes, donner du sens à leurs actions.
Notre rôle d’agence conseil est primordial pour accompagner les entreprises dans leurs futures prises de parole. Les messages d’avant crise ne seront pas les mêmes dans les prochains mois. Alors que l’on parlait croissance il y a encore quelques semaines, nous aborderons plutôt le thème de la résilience…

Enfin, avez-vous une bonne nouvelle, un coup de cœur, une lecture,… à partager ?

La bonne nouvelle ? L’homme a besoin de contacts, et seule la rencontre et l’événement pourront répondre à son besoin.
Le coup de cœur ? Cette citation d’Albert Camus qui nous interroge sur notre liberté d’agir : «Le bonheur est la plus grande des conquêtes, celle qu’on fait contre le destin qui nous est imposé.».

Portrait : Nathalie Vuarchex

Rencontre avec Nathalie Vuarchex qui a cocréé en 2018 l’agence nantaise des Pétroleuses.

 

Quel est ton parcours ?

J’ai, conçu et réalisé des projets pour sensibiliser à l’environnement, à la citoyenneté. Organisation d’événements, conception et rédaction de guides pratiques, de sites internet… Ma priorité était de trouver le meilleur moyen pour créer des liens entre un message et un public. En fait, je faisais de la communication sans le savoir ! Une fois la prise de conscience effectuée, j’ai voulu légitimer mon parcours, en suivant la formation Responsable communication d’Audencia SciencesCom.

 

Aujourd’hui que fais-tu ?

Actuellement, je poursuis les mêmes objectifs, en proposant mes services  de gestion de projet, stratégie, relations publiques… au sein des Pétroleuses, agence de communication dédiée aux projets environnementaux et sociétaux. Avec la graphiste Sonia Landreau, nous proposons nos compétences et constituons des équipes sur mesure en associant des indépendants aux expertises complémentaires. La souplesse de notre structure nous permet d’intervenir sur des projets très différents, que ce soit pour des acteurs sans service de communication ou en appui de missions de responsables de communication.

 

Pourquoi as tu adhéré à l’APCOM ?

J’ai adhéré pour rencontrer et échanger avec d’autres communicants et je suis plutôt comblée. J’apprécie énormément les découvertes de nouvelles pratiques (management visuel, co-développement, etc.) et celles d’autres communicants (Musée d’Arts, Lu, Complètement Nantes…).

 

As tu un conseil ou coup de cœur (une lecture, un lieu, un blog, une sortie…) ?

Pas une nouveauté, pas non plus un livre pour l’été, mais une lecture éclairante sur la notion de « communication responsable ». De la publicité à la consommation responsable d’Yonnel Poivre-Le Lohé aux éditions Charles Leopold Mayer. Téléchargeable gratuitement sur le site de la maison d’édition.

 

Portrait : Claudie Guillou

Rencontre avec Claudie Guillou, chargée de communication chez GRDF à Nantes et blogueuse !

Claudie, peux-tu nous raconter ton parcours ?

Après avoir obtenu mon Bac Sciences et Technologies Tertiaires, option Action et Communication Commerciale, j’ai poursuivi avec un BTS Actions Commerciales en alternance avec ENGIE. A l’obtention de mon diplôme, j’ai tout de suite été embauchée. Je travaille aujourd’hui depuis 15 ans dans le Groupe ENGIE. J’ai effectué un passage sur Paris pendant 4 ans au sein de la Direction de la Communication où je me suis notamment occupée de la communication interne et des relations publiques. Depuis 2008, je travaille sur Nantes chez GRDF, filiale du Groupe où j’occupe un poste de Chargée de Communication.

Aujourd’hui que fais-tu ?

Rattachée au Directeur Territorial Régional de GRDF, mon rôle consiste à intervenir de manière simultanée sur tous les leviers de communication pour accroître la visibilité et la compréhension du rôle du distributeur GRDF auprès clients, prospects et prescripteurs sur les Pays de la Loire.

A partir du plan de communication élaboré en début d’année et mis en œuvre, mes principales missions sont la gestion de la relation avec les médias et le pilotage des opérations de communication événementielle (conférences, inaugurations, petits-déjeuners..) pour :

– Contribuer à la notoriété de GRDF et rajeunir notre image

– Amplifier notre présence sur les réseaux sociaux

– Faire du Gaz une énergie aimée et choisie

– Faire du Gaz une énergie d’avenir

En parallèle, j’utilise également les outils de communication interne pour faire connaître nos actions et nos retombées presse auprès des collaborateurs de l’entreprise.

Pourquoi as-tu adhéré à l’APCOM ?

J’ai souhaité adhérer à l’APCOM pour échanger et partager avec un réseau de communicants pluri disciplinaires sur différentes thématiques. La veille est essentielle pour que nous restions dans le « mouv » J

Comment vois-tu le métier de communicant à Nantes ?

La grosse différence entre Nantes et Paris, c’est que le communicant sur Nantes doit être un vrai couteau suisse ! Si à Paris le communicant peut être expert sur un seul domaine, le communicant sur Nantes doit tout connaître et être capable de travailler en transverse sur l’ensemble des domaines de Communication. Il faut être réactif, à l’écoute, organisé et le réseau est très important pour la réussite du métier.

Quels sont tes projets ?

Je suis très heureuse d’avoir réussi à lancer mon blog personnel en juillet 2017 : Jupetteetsalopette.fr . C’est un beau bébé que j’ai préparé pendant un an avec une illustratrice et un développeur. C’est un rêve que j’avais en tête et réussir à le rendre réel, c’est vraiment un accomplissement personnel. Et puis cela m’a permis d’apprendre de nouvelles choses : WordPress, le référencement, la photo et de connaître de nouvelles personnes. Notamment en intégrant un nouveau réseau : le Collectif des blogs du 44. Un collectif de blogueuses super sympas qui échange sur le blogging.

Portrait : Béatrice Nourry

Rencontre avec notre adhérente Béatrice Nourry, consultante en com et marketing et écrivaine.

 

Raconte-nous ton parcours ?

Après 15 ans d’expérience à des postes de direction marketing et communication, dans des PME informatiques de la région en environnement BtoB, j’ai décidé de construire mon indépendance !

Je suis consultante en marketing et communication depuis 2009.

Aujourd’hui que fais-tu ?

Aujourd’hui, j’accompagne des petites PME de secteurs technologiques, qui sont en constante innovation et évoluent aussi dans un environnement international. Je rentre souvent par la porte de l’opérationnel (la refonte d’un site web, un salon, du story-telling) et je remonte sur de la stratégie pour assurer la mise en place d’actions pérennes et pertinentes.

J’interviens aussi un peu dans des formations en alternance auprès de BAC+5 informatiques et de MASTER management.

Depuis 2012, je suis consultante « développement commercial » dans le programme DINAMIC ENTREPRISES des Pays de la Loire, où j’accompagne des dirigeants et leurs collaborateurs dans des plans d’actions commerciales, marketing et communication, pour booster leur chiffre d’affaires.

 

Pourquoi as-tu adhéré à l’APCOM ?

J’ai adhéré à l’APCOM pour échanger avec mes pairs, pour parler communication et découvrir de nouvelles idées ou de nouvelles stratégies. J’ai aussi besoin d’élargir mon réseau de free-lances et de partenaires dans les métiers connexes au mien (web, référencement, presse, vidéo, photo, événementiel, etc.). J’aime m’enrichir des retours d’expérience des communicants !

 

Comment vois-tu le métier de communicant à Nantes ?

Bouillonnant ! De nombreux professionnels, des statuts différents, des expériences variées, de quoi trouver des partenaires métier de qualité !

 

As-tu des projets ?

Je pilote un projet d’adaptation audio, théâtrale et BD d’un concept de nouvelles professionnelles, sorte de « story telling puissance 10 » qui met en valeur les services et les collaborateurs d’un de mes clients. Joli projet qui me permet de découvrir des mondes encore inconnus !

 

As-tu un conseil ou coup de cœur (une lecture, un lieu, un blog, une sortie…) ?

Une lecture ? Oui… ! Je viens d’être éditée ! La plume est ma deuxième vie. J’écris des romans historiques. L’un d’eux, « Le Courage de Marie », qui se passe en 14-18, vient d’être édité par la maison d’édition Nouvelles Plumes avec un contrat d’exclusivité de 6 mois dans le Club France Loisirs (démarrage avec le catalogue de mars !). Je suis actuellement dans la tournée des dédicaces en boutique et serai sur Nantes le 29 mars. Depuis septembre 2017, ce roman sera dans toutes les librairies nantaises et accessibles à tous ! Plus d’info sur ma page Facebook : https://www.facebook.com/BeatriceNourryEcrivaine